Caminho pelas Estrelas

sexta-feira, 23 de agosto de 2019

Fw: Un seul problème à clarifier Sólo una cuestión por aclarar Only one problem to clarify Apenas um problema para esclarecer Solo un problema da chiarire Только одна проблема



----- Mensagem encaminhada -----
De: Gabrielle Simond 
Enviado: sexta-feira, 23 de agosto de 2019 04:55:29 BRT
Assunto: Fwd: Fwd: Un seul problème à clarifier Sólo una cuestión por aclarar Only one problem to clarify Apenas um problema para esclarecer Solo un problema da chiarire Только одна проблема


de notre ambassadeur Adrián Néstor Escudero Argentine


 









Un seul problème à clarifier. Je comprends que ce n'est pas la mission de l'Art de sauver le monde, mais de le refléter dans ses dons et antivaleurs,en encourageant les uns et en rejetant les autres, respectivement.
Oui, c'est la mission de l'art de nous révéler les essences du bien, de la beauté et de la vérité du créé. Ensuite, ils me demanderont, si ce n'est pas la mission de l'Art en lui-même, de sauver le monde, à quoi ça sert?
Eh bien, il sert de moyen à un cœur de bonne volonté, animé et transformé par les essences qui nourrissent l'Art de son pouvoir créateur, s'il le peut.
L'art apparait alors clairement non pas comme une fin, mais comme un moyen: un médium qui, en tant que tel, ne serait ni bon ni mauvais, à première vue, car son axiologie implicite dépend des valeurs (ou antivaleurs) de l'homme ou de l'artiste qui les utilise. ... Parce que même le mal peut être divulgué et persuadé au moyen de mots apparemment beaux, bons et vrais ... Un sujet très bien maitrisé par les loups déguisés en agneaux et leurs hommes de main accablants et concupiscents.
Alors, comment préserver les essences de bonté, de beauté et de vérité, de leur véritable engagement dans l'Art en tant que lien ou relation humaine biunivoque et subjective de l'homme avec la réalité (vision du monde à travers un tempérament, selon E. Zola )?
Pour cela, nous devons comprendre que l'homme a reçu, comme tout son être, le don de la Parole: un don qui distingue et élève parmi les espèces vivantes de l'Univers. Ou la planète, si nous voulons être plus humbles.
Et comprenez également que la Parole n'est pas la propriété de l'homme, mais la Grâce, la gratuité de Celui qui l'a créée et maintenue en tant qu'être vivant, avec intelligence, liberté et volonté, car au commencement était la Parole et la Parole était Dieu. ..
... Un faiseur qui confère sa créature, digne et divinisée au cours de l'espace-temps ou de l'Histoire humaine, par son intervention personnelle
et incarnée dans la personne rédemptrice de son Premier-né: Jésus-Christ, Seigneur de l'histoire; et à partir de cette merveilleuse nouvelle alliance du divin avec l'humain, un dialogue hypostatique avec l'homme; un dialogue où l'homme n'est plus la qualification de créature, mais celui de fils (depuis que sa chair a été divinisée et son esprit incarné) et, de cette manière et à travers la Parole donnée, le rôle d'Administrateur du Les vrais créateurs, par exemple, de ladite Parole revêtent une plénitude et une transcendance.
Ces considérations m'ont amené un jour à écrire un REGARD sur la POÉSIE et sa mission: celle de la sacralisation du monde. Je pense que ce n'est qu'ainsi que ce sera un moyen efficace (efficace et économique) entre les mains de l'homme de bonne volonté; un homme capable de penser, de ressentir et d'agir avec la pureté de cœur et la rectitude d'intention ... et de faire de l'art un instrument pour réconcilier le monde avec Dieu
et avec lui-même.
Ensuite, je vous propose ce look qui, je l'espère, contribuera aux nobles buts et objectifs du CERCLE AMBASSADEURS DE LA PAIX en faveur de la paix humaine et de la fraternité:  LOOKS ...
                                                                 POÉSIE: SANG ET LUMIÈRE DU VERBE

Ils disent que "LA VIE VA COMME LE VENT ... DIFFÉRENTS ARÔMES NOUS LAISSERONS NOTRE PAS. LE POÈTE ANNONCE DES MARÉES ET CELA MONTRE LES CAMPANARIOS ... "(Poète Hilda Schiavoni - UNILETRAS - Février 2016).

La poésie, quand elle bat le cœur, chante, murmure, soupire, pleure ou supplie le cœur de l'homme inquiet avant l'avenir de la trame de l'existence humaine, fait partie du sang de la Parole Créateur, Rédempteur et Sanctifiant de l'univers - , pouvoir de guérison, de salut ...

Une fois que l'âme a débarqué sur Miséricorde, ses soucis et ses perplexités, ses espoirs et ses espérances, ses pas et ses contre-pas, ses dérapages et ses élévations, ses courbes et ses raccourcis, ses doutes et ses engagements, ses peurs et ses cauchemars, ses promesses et ses discours ... , revient avec de nouveaux yeux ardents venant d'en haut pour propulser les pieds des pèlerins sur leur propre poussière; et aussi, avec une vigueur renouvelée et des explosions augurales - à l'aube, toujours à l'aube, après la conjuration imparable de la nuit - pour s'engager, encore et encore, à mener le bon combat que la vie nous offre pour atteindre la Vie.

Pour cette raison, le poète colombien Cecilia Lamprea de Guzmán (N. 1933, Bogotá), interprétant le paragraphe précédent, exprimera dans une synthèse inoubliable du phoesis: "Toujours le poète sera un rénovateur des aurores sur la poussière de sa propre angoisse" .

Ce n'est pas un jeu C'est un combat. Un combat maintenant sanglant, maintenant sans sang entre la lumière et l'ombre, entre la foi et l'impiété, entre l'espoir et la folie.
Et si les mots combat et lutte ne cessent pas de nous éloigner d'une axiologie humanisant authentique, substituons ces verbes à des verbes plus adéquats: et ne parlons pas de combat, mais de SERVICE; pas de lutte, mais d'efforts et de sacrifices ...

... Et, aussi gracieux que nous soyons, soyons missionnaires de la Manne du Verbe, laissez-le suivre son cours le long du chemin des ravins sinistres et sombres ... Parce que nous ne craindrons aucun mal.

La poésie n'est pas une fille naïve, imberbe et craintive. C'est une femme courageuse, lucide et translucide. Je ne craindrai aucun mal de sa main lisse,
et ferme. C'est la consolation d'un Dieu entier, l'offrande d'amour, avec nous. Alors, si Elle et Lui avec nous, le sang sacrificiel de la Parole humanisée:
qui est contre nous? Pas même le père du mensonge habile, ténébreux et méfiant ...

Beaucoup ont essayé de le définir. Même "poétiquement" comme Gustavo Adolfo Bécquer ("La poésie ... êtes-vous") ou Rabindranath Tagore
("La poésie est l'écho de la mélodie de l'univers dans le cœur de l'homme"). Et plus récemment, un collègue vénézuélien (Rafael Vicente Padrón Ruíz)
a également abordé son propre regard sur un si grand mystère: "Le monde est un livre, nous sommes un poème et toute la vie est une poésie".
Un regard attentif sur le foyer transcendant de la vie guidé par une spiritualité humaine nous rapprochera de la poésie de l'être et de l'être dans le monde, même si nous ne sommes pas du monde.

En résumé: lorsqu'une âme pense, ressent et dit de la poésie, c'est parce que la Parole, toute Lumière, y vit. Et la poésie est la formalisation de la Parole incarnée dans ce regard, dans les essences de bonté, de beauté et de vérité. Ou, en d'autres termes, la poésie est comme une étoile ...
Chacune touche l'un de ses rayons ... Mais c'est toujours le même rayon de lumière. Et dans une seule particule de lumière, toutes les propriétés
de la source de lumière sont condensées.
Merci et bénédiction au poète qui le nomme. Merci et bénédictions pour le tremblement de votre voix, celui du cerf assoiffé qui part à la recherche d'eau ... 
***************************************************************************************************************************
 
Gracias por tan magnífico alegato en favor de la Paz y la Fraternidad Universal.
 
Sólo una cuestión por aclarar. Entiendo que no es misión del Arte salvar al mundo, sino reflejarlo en sus dones y antivalores, alentando
a los unos y desechando a los otros, respectivamente.
 
Es misión del Arte, sí, revelarnos las esencias de la bondad, la belleza y la verdad de lo creado. Entonces, me peguntarán, sino es misión
del Arte en sí mismo, salvar al mundo, para qué sirve.
Pues bien, sirve como medio para que un corazón de buena voluntad, conmovido y transformado por  las esencias que nutren al Arte de su
poder creativo, sí pueda hacerlo.
El Arte aparece claramente entonces no como un fin sino como un medio: medio que, como tal, no resultaría ni bueno ni malo, prima facie,
ya que su axiología implícita depende de los valores (o antivalores) del hombre o artista que lo emplea... Porque hasta lo malo puede ser
divulgado y persuadido por medio de aparentes bellas y buenas y verdaderas palabras... Una materia que dominan muy bien los lobos disfrazados de corderos, y sus arrolladores y concupiscentes secuaces.
 
Entonces, ¿cómo preservar a las esencias de bondad, belleza y verdad, de su verdadero cometido en el Arte como vinculación o relación
humana biunívoca y subjetiva del hombre con la realidad (la visión del mundo a través de un temperamento, según E. Zola)?
 
Para ello hay que comprender que el hombre ha recibido, como todo su ser, el don de la Palabra: un don que lo distingue y eleva entre
las especies vivientes del Universo. O del planeta, si queremos ser más humildes.
 
Y entender además que, la Palabra, no es propiedad del hombre sino Gracia, gratuidad de Aquél que ha lo creado y sustentado 
como ser viviente, con inteligencia, libertad y voluntad, por cuanto en el Principio era el Verbo y el Verbo era Dios...
 
... Un Hacedor que confiere a su criatura, dignificada y divinizada en el transcurso del espacio-tiempo o Historia Humana, por su propia y directa
intervención Personal y Encarnada en la redentora Persona de su Primogénito: Jesucristo, Señor de la Historia; y entablando a partir de esta maravillosa Nueva Alianza de lo Divino con lo Humano, un diálogo hipostático con el  Hombre; un diálogo donde al Hombre se le confiere ya no la calificación de criatura sino de Hijo (pues su carne ha sido divinizada y su espíritu encarnado), y, de ese modo, y por medio de la Palabra dada,
el rol de Administrador de los Bienes Creadores, ergo, de la dicha Palabra agraciada en plenitud y trascendencia.
 
Estas consideraciones hicieron que un día escribiera una MIRADA sobre la POESÍA y su Misión: la de sacralizar al Mundo. Pues sólo
de este modo, opino, será eficaz (eficiente y económico) medio en manos del hombre de buena voluntad; hombre capaz de  pensar,
sentir y obra con pureza de corazón y rectitud de intención... Y hacer del Arte un instrumento para reconciliar al Mundo con Dios  y consigo mismo.
 
A continuación, les ofrezco entonces dicha MIRADA, que ojalá contribuya a los nobles fines y objetivos del CERCLE AMBASSADEURS DE LA PAIX (France/Suisse), en favor de la Paz y la Fraternidad Humanas:
 

MIRADAS…

LA POESÍA: SANGRE Y LUZ DEL VERBO

Dicen que "LA VIDA SE VA COMO EL VIENTO… DIFERENTES AROMAS DEJAREMOS A NUESTRO PASO. EL POETA DERRAMA TAÑIDOS Y ÉSTOS SUBEN A LOS CAMPANARIOS…"

(Poeta Hilda Schiavoni – UNILETRAS – Febrero 2016).  

La poesía, cuando es latido, canto, susurro, suspiro, grito o súplica del corazón del hombre inquieto ante el devenir de la trama de la existencia humana, tiene -por ser parte, sangre del Verbo Creador, Redentor y Santificador del universo todo-, poder de sanación, de salvación...

Una vez que el alma descarga a tierra de Misericordia sus afanes y perplejidades, sus anhelos y esperanzas, sus pasos y contrapasos, sus derrapes y alzadas, sus curvas y atajos, sus dudas y compromisos, sus temores y pesadillas, sus promesas y discursos…, vuelve con nuevos ojos encendidos desde lo Alto a propulsar los pies peregrinos sobre su propio polvo; y también, con renovados bríos y brotes augurales –al alba, siempre al alba, después del conjuro irrefrenable de la noche- a alistarse, una y otra vez, para librar el buen combate que nos ofrece la vida para alcanzar la Vida.

Por eso, la Poeta colombiana Cecilia Lamprea de Guzmán (N. 1933, Bogotá), al interpretar el párrafo antecedente, expresará en inolvidable síntesis de la phoesis: "Siempre el poeta, será un renovador de amaneceres sobre el polvo de su propia angustia".

No es un juego. Es un combate. Una lucha ora cruenta, ora incruenta entre la luz y la sombra, entre la fe y la impiedad, entre la esperanza y la locura.  Y si la palabra combate y lucha no deja de ajeneizarnos de una auténtica axiología humanizante, troquemos esos verbos por otros más adecuados: y hablemos no de combate, sino de SERVICIO; no de lucha, sino de ESFUERZOS Y SACRIFICIOS…

… Y dejemos, agraciados como somos, misioneros del Maná de la Palabra, que ésta emprenda su marcha por el derrotero de ominosas, oscuras quebradas… Porque ningún mal temeremos.

Es que la Poesía no es una niña ingenua, imberbe y temerosa. Es una mujer valiente, lúcida y traslúcida. De su mano tersa, suave y firme ningún mal temeré. Es el consuelo de todo un Dios, Amor Ofrenda, con nosotros. Entonces, si Ella y Él con nosotros, sangre sacrificial del Verbo humanizado: ¿quién contra nosotros? Ni siquiera el astuto, tenebroso, suspicaz Padre de la Mentira…

Muchos han tratado de definirla. Incluso "poéticamente" como Gustavo Adolfo Bécquer ("Poesía… eres tú") o Rabindranath Tagore ("La poesía es el eco de la melodía del universo en el corazón de los humanos"). Y más recientemente, un colega venezolano (Rafael Vicente Padrón Ruíz) tambiénha aproximado su propia mirada de tan grande Misterio, expresando: "El mundo es un libro, nosotros un poema y la vida entera es poesía". Una mirada cercana al enfoque trascendente de la vida guiada por una espiritualidad de lo humano, nos aproximará sin más a la poesía de ser y estar en el mundo, aunque no seamos del mundo.

Resumiendo: Cuando un alma piensa, siente y dice poesía, es porque el Verbo, todo Luz, habita en ella. Y la Poesía resulta la formalización del Verbo encarnado en dicha mirada, en las esencias de bondad, belleza y verdad. O, en otras palabras, la poesía es como una estrella... A cada cual toca alguno de sus rayos... Pero es siempre el mismo rayo de luz. Y en una sola partícula de luz se hallan condensadas todas las propiedades de la Fuente de Luz.

Gracias y bendiciones al Poeta que la Nombra. Gracias y bendiciones por el temblor de su Voz, la del ciervo sediento que va en busca del agua...

********************************************************************************************************************************

Thank you for this wonderful plea for peace and universal brotherhood.
Only one problem to clarify. I understand that this is not the mission of the Art of saving the world, but to reflect it in its gifts and antivaleurs,
encouraging some and rejecting others, respectively.
Yes, it is the mission of art to reveal to us the essences of the good, the beauty and the truth of the created. Then they will ask me, if it is not the mission of Art itself, to save the world, what is it for?
Well, it serves as a means to a heart of good will, animated and transformed by the essences that feed the Art of its creative power, if it can.
Art then clearly appears not as an end, but as a means: a medium which, as such, would be neither good nor bad, at first sight, because its implicit axiology depends on the values ​​(or antivaleurs) of man or the artist who uses them. ... Because even evil can be divulged and persuaded by means
of words that are apparently beautiful, good and true ... A subject very well mastered by wolves disguised as lambs and their henchmen, oppressive and lustful.So, how to preserve the essences of goodness, beauty and truth, of their true engagement in Art as a link or human relation biunivocal
and subjective of the man with the reality (vision of the world through a temperament, according to E. Zola)?
For this, we must understand that man has received, as his whole being, the gift of the Word: a gift that distinguishes and elevates among
the living species of the Universe. Or the planet, if we want to be more humble.
And also understand that the Word is not the property of man, but the Grace, the gratuity of the One who created and maintained it as
a living being, with intelligence, freedom and will, because in the beginning was the Word and the Word was God. ..
... A maker who confers his creature, dignified and deified during space-time or human history, by his personal intervention
and incarnate in the redeeming person of his firstborn: Jesus Christ, Lord of history; and from this marvelous new covenant of the divine
with the human, a hypostatic dialogue with man; a dialogue in which man is no longer the qualification of a creature, but that of a son
(since his flesh has been deified and his spirit incarnated) and, in this way and through the given Word, the role of Administrator of the The true creators, for example, of the said Word, have a fullness and a transcendence.
These considerations led me one day to write a LOOK on POETRY and its mission: that of the sacredness of the world. I think that it is only
in this way that it will be an effective means (effective and economical) in the hands of the man of good will; a man who can think, feel and act
with purity of heart and rectitude of intention ... and make art an instrument to reconcile the world with God
and with himself.
Then I offer you this look which, I hope, will contribute to the noble goals and objectives of the CIRCLE AMBASSADORS OF PEACE in favor
of human peace and fraternity: LOOKS...
                                                                                POETRY: BLOOD AND LIGHT OF THE VERB

They say that "LIFE GOES LIKE THE WIND ... DIFFERENT AROMAS WE WILL LEAVE OUR STEP: THE POET ANNOUNCES TIDES AND THAT SHOWS THE CAMPANARIOS ..." (Poet Hilda Schiavoni - UNILETRAS - February 2016).

Poetry, when it beats the heart, sings, murmurs, sighs, cries or begs the heart of the worried man before the future of the web of human existence,
is part of the blood of the Word Creator, Redeemer and Sanctifier of the universe -, power of healing, of salvation ...

Once the soul has landed on Mercy, its worries and perplexities, its hopes and hopes, its steps and counter-steps, its slippages and elevations,
its curves and shortcuts, its doubts and its commitments, its fears and his nightmares, his promises and his speeches ..., returns with new fiery eyes coming from above to propel the feet of the pilgrims on their own dust; and also, with renewed vigor and augural explosions - at dawn, always
at dawn, after the unstoppable conspiracy of the night - to commit, again and again, to lead the good fight that life offers us to reach the Life.

For this reason, the Colombian poet Cecilia Lamprea de Guzman (N. 1933, Bogotá), interpreting the preceding paragraph, will express in an unforgettable synthesis of the phoesis: "Always the poet will be a renovator of the aurora on the dust of his own anguish".

It's not a game It's a fight. A fight now bloody, now without blood between light and shadow, between faith and impiety, between hope and madness.
And if the words struggle and struggle do not cease to distance us from an authentic humanizing axiology, we substitute these verbs for more adequate verbs: and let us not speak of combat, but of SERVICE; no struggle, but effort and sacrifice ...

... And, graceful as we are, let us be missionaries of the Manna of the Word, let him follow his course along the path of sinister and dark ravines ... Because we will not fear any harm.

Poetry is not a naive girl, beardless and fearful. She is a brave woman, lucid and translucent. I will not fear any harm from his smooth hand,
and closes. It is the consolation of a whole God, the offering of love, with us. So, if He and He with us, the sacrificial blood of the humanized Word:
who is against us? Not even the father of the clever, dark and suspicious lie ...

Many have tried to define it. Even "poetically" like Gustavo Adolfo Bécquer ("Poetry ... are you") or Rabindranath Tagore
("Poetry is the echo of the melody of the universe in the heart of man"). And more recently, a Venezuelan colleague (Rafael Vicente Padrón Ruíz)
has also addressed his own view of such a great mystery: "The world is a book, we are a poem and all life is a poetry".
A careful look at the transcendent focus of life guided by human spirituality will bring us closer to the poetry of being and being in the world, even if we are not of the world.
In summary: when a soul thinks, feels and says poetry, it is because the Word, all Light, lives there. And poetry is the formalization of the Word incarnated in this look, in the essences of goodness, beauty and truth. Or, in other words, poetry is like a star ...
Each one touches one of its rays ... But it is always the same ray of light. And in a single particle of light, all the properties
of the light source are condensed.
Thank you and blessing to the poet who names him. Thank you and blessings for the trembling of your voice, that of the thirsty deer
who goes in search of water ...
*****************************************************************************************************************************************************************
Obrigado por este maravilhoso pedido de paz e fraternidade universal.
Apenas um problema para esclarecer. Eu entendo que esta não é a missão da Arte de salvar o mundo, mas para refleti-lo em seus dons
e antivaleurs,encorajando alguns e rejeitando outros, respectivamente.
Sim, é a missão da arte nos revelar as essências do bem, da beleza e da verdade do criado. Então eles vão me perguntar,
se não é a missão da própria arte, salvar o mundo, para que serve isso?
Bem, serve como um meio para um coração de boa vontade, animado e transformado pelas essências que alimentam a Arte
de seu poder criativo, se puder.
A arte então aparece claramente não como um fim, mas como um meio: um meio que, como tal, não seria nem bom nem ruim, à primeira vista,
porque sua axiologia implícita depende dos valores (ou antivaleurs) de homem ou o artista que os usa. ... Porque até mesmo o mal pode
ser divulgado e persuadido por meio de palavras que são aparentemente belas, boas e verdadeiras ... Um assunto muito bem dominado
por lobos disfarçados de cordeiros e seus capangas, opressivos e lascivos.
Então, como preservar as essências de bondade, beleza e verdade, de seu verdadeiro engajamento na Arte como elo ou relação humana
biunívoca e subjetiva do homem com a realidade (visão do mundo através de um temperamento, segundo E. Zola)?
Para isso, devemos entender que o homem recebeu, como todo o seu ser, o dom da Palavra: um dom que distingue e eleva entre
as espécies vivas do Universo. Ou o planeta, se quisermos ser mais humildes.
E também entender que a Palavra não é propriedade do homem, mas a Graça, a gratuidade daquele que a criou e manteve como um ser vivo,
com inteligência, liberdade e vontade, porque no princípio era a Palavra e a Palavra eram Deus. ..
... Um criador que confere a sua criatura, dignificado e deificado durante o espaço-tempo ou a história humana, pela sua intervenção pessoal
e encarnar na pessoa redentora de seu primogênito: Jesus Cristo, Senhor da história; e desta maravilhosa nova aliança do divino com o humano,
um diálogo hipostático com o homem; um diálogo em que o homem não é mais a qualificação de uma criatura, mas a de um filho
(desde que sua carne foi deificada e seu espírito encarnado) e, desta forma e através da Palavra dada, o papel de Administrador
da Os verdadeiros criadores, por exemplo, da dita Palavra, têm uma plenitude e uma transcendência.
Essas considerações levaram-me um dia a escrever um olhar sobre a POESIA e sua missão: a da sacralidade do mundo. Penso que só assim
será um meio eficaz (eficaz e econômico) nas mãos do homem de boa vontade; um homem que pode pensar, sentir e agir com pureza de coração
e retidão de intenção ... e fazer da arte um instrumento para reconciliar o mundo com Deus e com ele mesmo.
Depois, ofereço-lhe este olhar que, espero, contribuirá para as nobres metas e objetivos dos EMBAIXADORES DE PAZ do CÍRCULO em favor da paz e da fraternidade humanas: OLHA ...
 
                                                                                       POESIA: SANGUE E LUZ DO VERBO

Eles dizem que "a vida como o vento ... VA SABORES DIFERENTES NÓS NÃO deixe que nosso poeta ANÚNCIO das marés e mostra Campanarios ...." (poeta Hilda Schiavoni - UNILETRAS - fevereiro de 2016).

Poesia, quando o coração bate, canta, sussurros, suspiros, gritos e implora o coração do homem preocupado antes o futuro da web da existência humana, é parte do sangue do Verbo Criador e Redentor Santificante do universo -, poder de cura, de salvação ...

Uma vez que a alma tenha desembarcado em Misericórdia, suas preocupações e perplexidades, as esperanças e as esperanças, e não contra, não seus excessos e sua elevação, suas curvas e atalhos, dúvidas e compromissos, os medos e seus pesadelos, suas promessas e seus discursos ... retornam com novos olhos ardentes vindos de cima para impulsionar os pés dos peregrinos em sua própria poeira; e também, com renovado vigor e augurales explosões - ao amanhecer, sempre ao amanhecer, após a conspiração imparável da noite - para se envolver de novo e de novo, para combater o bom combate que a vida nos oferece para alcançar a vida.

Por esta razão, o poeta colombiano Cecilia Lamprea de Guzmán (N. 1933, Bogotá), interpretando o parágrafo anterior, expressa em uma phoesis síntese inesquecível: "Sempre o poeta será um restaurador da aurora sobre o pó de sua própria angústia."

Não é um jogo É uma luta. Uma luta agora sangrenta, agora sem sangue entre a luz e a sombra, entre a fé e a impiedade, entre a esperança e a loucura.
E se as palavras lutar e luta não cessa de se afastar um autêntico axiologia humanização, substituir esses verbos para verbos mais apropriados e não falar sobre luta, mas o serviço; sem luta, mas esforço e sacrifício ...

... E, por mais graciosos que sejamos, sejamos missionários do maná da Palavra, sigamos seu caminho pelo caminho das ravinas sinistras e escuras ... Porque não temeremos nenhum dano.

A poesia não é uma garota ingênua, sem barba e com medo. Ela é uma mulher corajosa, lúcida e translúcida. Eu não temerei nenhum mal de sua mão suave,
e fecha. É o consolo de um Deus inteiro, a oferta de amor conosco. Então, se Ele e Ele conosco, o sangue sacrificial da Palavra humanizada:
quem é contra nós? Nem mesmo o pai da mentira inteligente, sombria e suspeita ...

Muitos tentaram defini-lo. Mesmo "poeticamente" como Gustavo Adolfo Bécquer ("Poesia ... você é") ou Rabindranath Tagore
("A poesia é o eco da melodia do universo no coração do homem"). E mais recentemente, um colega venezuelano (Rafael Vicente Padrón Ruíz)
também abordou sua própria visão de um grande mistério: "O mundo é um livro, nós somos um poema e toda a vida é uma poesia".
Um exame cuidadoso do foco transcendente da vida guiado pela espiritualidade humana nos aproximará da poesia do ser e do ser no mundo, mesmo que não sejamos do mundo.

Em resumo: quando uma alma pensa, sente e diz poesia, é porque a Palavra, toda a Luz, vive lá. E a poesia é a formalização da Palavra encarnada neste olhar, nas essências da bondade, da beleza e da verdade. Ou, em outras palavras, a poesia é como uma estrela ...
Cada um toca um de seus raios ... Mas é sempre o mesmo raio de luz. E em uma única partícula de luz, todas as propriedades
da fonte de luz são condensadas.
Obrigado e bênção ao poeta que o nomeia. Obrigado e bênçãos pelo tremor da sua voz, a do veado sedento que sai em busca de água ...

*************************************************************************************************************************************************************

Grazie per questa meravigliosa richiesta di pace e fratellanza universale.
Solo un problema da chiarire. Capisco che questa non è la missione dell'Arte di salvare il mondo, ma di rifletterlo nei suoi doni e antivaleti,
incoraggiando alcuni e respingendo gli altri, rispettivamente.
Sì, è la missione dell'arte quella di rivelarci le essenze del bene, la bellezza e la verità del creato. Poi mi chiederanno, se non è la missione
dell'Arte stessa, di salvare il mondo, a cosa serve?
Beh, serve come mezzo per un cuore pronto, animato e trasformato dalle essenze che nutrono l'Arte della sua potenza creatrice, se può.
L'arte quindi appare chiaramente non come fine ma come mezzo: un mezzo che, di per sé, non è né buona né cattiva, a prima vista,
perché la sua assiologia implicito dipende dai valori (o anti-valori) l'uomo o l'artista che li usa. ... Perché anche il male possono essere divulgate
e persuadere da apparentemente belle parole, buone e vere ... Un soggetto molto ben controllato dai lupi in pecora e uomini ghignanti e la mano schiacciante.
Così come preservare la bontà di specie, la bellezza e la verità del loro vero impegno per l'arte come un link o relazione a uno umano e l'uomo soggettivo con la realtà (visione del mondo attraverso un temperamento, secondo E. Zola)?
Per questo, dobbiamo capire che l'uomo ha ricevuto da tutto il suo essere, il dono della Parola: un dono che contraddistingue ed eleva tra
le specie viventi nell'universo. O il pianeta, se vogliamo essere più umili.
E anche capire che la Parola non è di proprietà di un uomo, ma la grazia, libero di Colui che ha creato e mantenuto come un essere vivente,
con intelligenza, la libertà e la volontà, per principio era la Parola e la Parola era Dio. ..
... Un creatore che conferisce la sua creatura, dignitosa e divinizzata durante lo spazio-tempo o la storia umana, con il suo intervento personale
e incarnato nella persona redentrice del suo primogenito: Gesù Cristo, Signore della storia; e da questa nuova meravigliosa alleanza del divino
con l'umano, un dialogo ipostatico con l'uomo; un dialogo in cui l'uomo non è più la creatura di qualifica, ma del figlio (dalla sua carne fu deificato
e lo spirito incarnato) e, in questo modo e attraverso la Parola dato il ruolo di amministratore I veri creatori, ad esempio, di detta Parola, hanno una pienezza e una trascendenza.
Queste considerazioni mi hanno portato un giorno a scrivere uno SGUARDO sulla poesia e la missione: quella della santificazione del mondo.
Credo che questo sia l'unico modo che sarà un efficace (e redditizio) nelle mani degli uomini di buona volontà; un uomo capace di pensare,
di sentire e di agire con la purezza del cuore e rettitudine d'intenzione ... e fare l'arte uno strumento per riconciliare il mondo a Dio
e con se stesso.
Allora vi propongo questo sguardo che mi auguro possa contribuire agli obiettivi e gli obiettivi di circolo ambasciatori di pace per la pace
e la fratellanza umana nobili: Sembra ...
                                                                                POESIA: SANGUE E LUCE DEL VERBO

Si dice che "VITA COME IL VENTO ... VA SAPORI DIVERSI NON lasciamo il nostro poeta BANDO delle maree e si vede Campanarios ...."
(Poeta Hilda Schiavoni - UNILETRAS - Febbraio 2016).

La poesia, quando il cuore batte, canta, sussurra, sospira, piange e implora il cuore dell'uomo preoccupato prima del futuro del web dell'esistenza umana, è parte del sangue del Creatore e Redentore Parola Santificatore dell'universo -, potere di guarigione, di salvezza ...

Una volta che l'anima è sbarcato su Misericordia, le sue preoccupazioni e le perplessità, le speranze e le speranze, e non contro, non i suoi eccessi
e la sua elevazione, le sue curve e collegamenti, i dubbi e gli impegni, le paure e i suoi incubi, le sue promesse e i suoi discorsi ..., ritorna con nuovi occhi infuocati provenienti dall'alto per spingere i piedi dei pellegrini sulla loro stessa polvere; e anche, con vigore e augurales esplosioni rinnovati - all'alba, sempre all'alba, dopo la congiura inarrestabile della notte - di impegnarsi ancora e ancora, per combattere la buona battaglia che
la vita ci offre per raggiungere la vita.

Per questo motivo, il poeta colombiano Cecilia Lamprea de Guzmán (N. 1933, Bogotá), interpretando il paragrafo precedente, espresso in un indimenticabile sintesi phoesis: "Sempre il poeta sarà un restauratore della aurora sulla polvere della propria angoscia"

Non è un gioco È una lotta. Una lotta ormai sanguinosa, ora senza sangue tra luce e ombra, tra fede e empietà, tra speranza e follia.
E se le parole lotta e lotta non cessano di allontanarci da una autentica assiologia umanizzante, sostituiamo questi verbi per verbi più adeguati:
e non parliamo di combattimento, ma di SERVIZIO; nessuna lotta, ma sforzo e sacrificio ...

... E, aggraziati come siamo, diventiamo missionari della Manna della Parola, che segua il suo corso lungo il sentiero di gole sinistre e oscure ...
Perché non temeremo alcun danno.

La poesia non è una ragazza ingenua, senza barba e timorosa. È una donna coraggiosa, lucida e traslucida. Non temerò alcun danno
dalla sua mano liscia,
e si chiude È la consolazione di un Dio intero, l'offerta dell'amore, con noi. Quindi, se Lui e Lui con noi, il sangue sacrificale della Parola umanizzata:
chi è contro di noi? Nemmeno il padre della bugia intelligente, oscura e sospettosa ...

Molti hanno provato a definirlo. Anche "poeticamente" come Gustavo Adolfo Bécquer ("Poesia ... sei tu") o Rabindranath Tagore
("La poesia è l'eco della melodia dell'universo nel cuore dell'uomo"). E più recentemente, un collega venezuelano (Rafael Vicente Padrón Ruíz)
ha anche affrontato il suo punto di vista su un così grande mistero: "Il mondo è un libro, noi siamo un poema e tutta la vita è una poesia".
Uno sguardo attento al centro trascendente della vita guidato dalla spiritualità umana ci avvicina alla poesia dell'essere e dell'essere nel mondo, anche se non siamo del mondo.

In sintesi: quando un'anima pensa, sente e dice poesia, è perché la Parola, tutta la Luce, vive lì. E la poesia è la formalizzazione del Verbo
incarnato in questo sguardo, nelle essenze di bontà, bellezza e verità. O, in altre parole, la poesia è come una stella ...
Ognuno tocca uno dei suoi raggi ... Ma è sempre lo stesso raggio di luce. E in una singola particella di luce, tutte le proprietà
della sorgente luminosa sono condensati.
Grazie e benedizione al poeta che lo nomina. Grazie e benedizioni per il tremito della tua voce, quella del cervo assetato che va in cerca di acqua ...
********************************************************************************************************************************************************************
Спасибо за эту замечательную просьбу о мире и всеобщем братстве.
Только одна проблема, чтобы уточнить. Я понимаю, что это не миссия Искусства спасения мира, а отражение его в дарах и противоборствах,
поощряя одних и отвергая других, соответственно.
Да, миссия искусства - открыть нам сущность добра, красоты и правды сотворенного. Тогда они спросят меня, если это не миссия самого искусства, спасти мир, для чего оно?
Что ж, это служит средством для сердца доброй воли, оживленного и преображенного сущностями, которые питают Искусство своей творческой силой, если могут.
Искусство тогда явно предстает не как цель, а как средство: средство, которое, как таковое, не было бы ни хорошим, ни плохим, на первый взгляд, потому что его неявная аксиология зависит от ценностей (или антивалеров) человек или художник, который их использует. ...
Потому что даже зло можно разглашать и убеждать с помощью слов, которые кажутся прекрасными, добрыми и правдивыми ...
Предмет, очень хорошо освоенный волками, замаскированными под агнцев и их приспешников, угнетающими и похотливыми.
Итак, как сохранить сущность добра, красоты и истины, их истинное участие в искусстве как связь или связь человека, биуноязычного и субъективного, человека с реальностью (видение мира через темперамент, согласно Э. Золя)?
Для этого мы должны понимать, что человек получил, как и все его существо, дар Слова: дар, который отличает и возвышает среди живых видов Вселенной. Или планета, если мы хотим быть более скромными.
И также поймите, что Слово - это не собственность человека, а Милость, благодарность Того, Кто создал и поддерживал его как живое существо, обладающее разумом, свободой и волей, потому что в начале было Слово и Слово были Бог. ..
... Создатель, который присуждает свое существо, достойное и обожествленное в пространстве-времени или истории человечества, своим личным вмешательством
и воплотить в искупительной личности своего первенца: Иисуса Христа, Господа истории; и из этого чудесного нового завета божественного
с человеком - ипостасного диалога с человеком; диалог, в котором человек больше не является качеством существа, но является сыном (поскольку его плоть обожествлена ​​и его дух воплощен), и, таким образом и посредством данного Слова, роль Администратора Например, истинные создатели упомянутого Слова обладают полнотой и превосходством.
Эти соображения побудили меня однажды написать «Взгляд на поэзию и ее миссию: священность мира». Я думаю, что только таким образом это будет эффективным средством (действенным и экономичным) в руках человека доброй воли; человек, который может думать, чувствовать и действовать с чистотой сердца и прямотой намерения ... и сделать искусство инструментом для примирения мира с Богом
и с самим собой.
Затем я предлагаю вам такой взгляд, который, я надеюсь, будет способствовать достижению благородных целей и задач Послов мира во имя мира и братства людей: СМОТРИ ...
                                                                                  ПОЭЗИЯ: КРОВЬ И СВЕТ ГЛАГОЛА

Они говорят, что «ЖИЗНЬ ИДЕТ КАК ВЕТЕР ... РАЗЛИЧНЫЕ АРОМАТЫ, КОТОРЫЕ МЫ БУДЕМ ОСТАВИТЬ НАШ ШАГ: ПОЭТ ОБЪЯВЛЯЕТ ТИДЫ, КОТОРЫЕ ПОКАЗЫВАЕТ КАМПАНАРИИ ...» (Поэт Хильда Скьявони - UNILETRAS - февраль 2016).

Поэзия, когда она бьется в сердце, поет, бормотает, вздыхает, плачет или умоляет сердце взволнованного человека перед будущей сетью человеческого существования, является частью крови Создателя Слова, Искупителя и Освящающего. вселенной - сила исцеления, спасения ...

Как только душа приземлилась на Мерси, ее беспокойства и недоумения, ее надежды и надежды, ее шаги и контр-шаги, ее проскальзывания и возвышения, ее кривые и короткие пути, ее сомнения и его обязательства, ее страхи и его ночные кошмары, его обещания и его речи ... возвращаются с новыми огненными глазами, идущими сверху, чтобы поднять ноги паломников на их собственную пыль; а также, с новой силой и зловещими взрывами - на рассвете, всегда на рассвете, после неудержимого ночного заговора - снова и снова взять на себя обязательство вести хорошую борьбу, которую нам предлагает жизнь достичь жизни.

По этой причине колумбийский поэт Сесилия Лампреа де Гусман (Н. 1933, Богота), истолковывая предыдущий абзац, выразит в незабываемом синтезе фотосессии: «Всегда поэт будет обновителем полярных сияний в пыли его собственных страданий».

Это не игра, это бой. Кровавая борьба, теперь без крови между светом и тенью, между верой и нечестием, между надеждой и безумием.
И если слова «борьба» и «борьба» не перестают отвлекать нас от подлинной гуманизирующей аксиологии, мы заменяем эти глаголы более адекватными глаголами: и давайте не будем говорить о битве, но о служении; не борьба, а усилие и жертва ...

... И, как бы мы ни были изящны, давайте будем миссионерами Манны Слова, пусть он пойдет своим путем по пути зловещих и темных оврагов ... Потому что мы не будем бояться никакого вреда.

Поэзия не наивная девушка, безбородая и страшная. Она смелая женщина, прозрачная и прозрачная. Я не буду бояться никакого вреда от его гладкой руки,
и закрывается. Это утешение всего Бога, подношение любви с нами. Итак, если Он и Он с нами, жертвенная кровь гуманизированного Слова:
кто против нас? Даже не отец умной, темной и подозрительной лжи ...

Многие пытались определить это. Даже «поэтично», как Густаво Адольфо Беккер («Поэзия ... ты») или Рабиндранат Тагор
(«Поэзия - это эхо мелодии вселенной в сердце человека»). А совсем недавно венесуэльский коллега (Рафаэль Висенте Падрон Руис)
также высказал свое мнение о такой великой тайне: «Мир - это книга, мы - стихотворение, а вся жизнь - поэзия».
Внимательный взгляд на трансцендентный фокус жизни, управляемый человеческой духовностью, приблизит нас к поэзии бытия и бытия в мире, даже если мы не от мира.

Итак, когда душа думает, чувствует и говорит стихи, это потому, что там живет Слово, весь Свет. И поэзия - это формализация Слова, воплощенного в этом взгляде, в сущности добра, красоты и истины. Или, другими словами, поэзия как звезда ...
Каждый касается одного из своих лучей ... Но это всегда один и тот же луч света. И в одной частице света, все свойства
источника света уплотняются.
Спасибо и благословение поэту, который называет его. Спасибо и благословения за дрожание вашего голоса, голоса жаждущего оленя, который отправляется на поиски воды ...